C’est, selon les acteurs de la protection civile, la durée moyenne d’un cambriolage. C’est également le temps nécessaire pour qu’un départ de feu devienne un véritable incendie.

C’est surtout le délai au terme duquel un patrimoine mobilier est anéanti.
Des années de patience ou de passion, d’économies ou d’impulsivité… Détruites en une poignée de secondes. Et ce, malgré la mise en place de dispositifs de protection mécanique ou électronique dont les résultats restent limités dans de nombreuses circonstances et, notamment, en cas de vol (par ruse, par introduction clandestine, par agression, à l’arraché…).

Le préjudice est multiple en ce qu’il provoque, tout d’abord, la perte de la valeur affective liée au bien disparu et qui relève de l’attachement symbolique.

La disparition du bien empêche, dans un second temps, l’engagement légitime d’en assurer la transmission familiale. Mais la conséquence immédiate la plus douloureuse reste la perte de la valeur financière (valeur effective), attachée au bien, qui varie selon le circuit de distribution auquel on se réfère. L’exemple caractéristique en est l’indemnisation éventuelle qu’un contrat d’assurance permet d’en espérer.

Prendre les précautions nécessaires pour éviter le pire, assurer la protection et la préservation de son patrimoine, non seulement dans l’hypothèse de survenance d’un sinistre mais également dans le cadre d’événements de la vie courante (partage, succession, transmission…).

Allexart met à la disposition des particuliers, profanes ou collectionneurs, et des professionnels, ses compétences techniques (expertise spécialisée), sa maîtrise juridique de l’environnement (contrat d’assurance) et ses connaissances du secteur économique (marchés de revente).